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J’ai toujours aimé la fleur en fin de vie, où la couleur devient plus intense, les dégradés plus intéressants. Les fleurs que je travaille sont surannées et ont perdu leur éclat, faute d’un temps péri.
Les bouquets que je cueille ont été aimés, honorés, vénérés, durant des vies entières. Ils portent les marques du temps.
Ces fleurs du mal deviennent alors parure de beauté entre deux mondes en suspens.
Cassandre.
Fleurs endeuillées
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