(Note à moi-même de ce que j'aime chez toi )

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Chère Sibylle,

Tu éteins doucement la lumière sur la fin de tes maux, pour ne parler qu'à demi-teinte.
Tu traces, l'empreinte des choses brisées sur du papier.

Et avec toi, la main remplace le cœur.

Tu parviens à dessiner un sentiment, un instant, une odeur,
Tu nous laisses, avec la couleur de nos souvenirs colorier tes fleurs, qui fanent.

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Posséder peu, cache des merveilles.

Chez toi, si nous prenons le temps d'ouvrir jusqu'à la plus petite boite aux trésors que tu collectionnes;

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Nous y trouverons ton cœur à l'air libre - que tu protèges de tes tortures secrètes,
 dans des espaces rêvés.

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Autour de toi, une auréole de silence.

Tu écris pour les gens qui se taisent dans l'infiniment petit.

Tu dessines, les invisibles tourments, comme de petits oiseaux qui ne ferment jamais leurs ailes et résistent au vent.

Dans le ciel de notre imagination, là où nos chemins se sont croisés, un jour.

Tu m'as donné l'envie de raconter l'inspirante Histoire d'Amour, de l'Envolée de ce si beau Papillon.

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Cassandre.

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